« Ce calligramme figure un cœur, une couronne et un miroir, et exige de l’œil qu’il lise non seulement de gauche à droite, mais aussi de bas en haut et de haut en bas. Le poète a inscrit son nom au cœur du miroir, magistral couronnement narcissique. »
LEUWERS D., Poètes français du XIXe et XXe siècles, Paris, LGF, 1987